Chookitypok

Hey, 175cm isn’t that small! His son is taller anyway, but I digress 🤓

Ah tiens, je déterre un peu mais mon filtre scaled viens de faire remonter le sujet 😛

L’anime est juste magnifique, c’est ça qui m’avait attiré à la base. Et puis je suis resté pour ces ados lâchés sans souvenir dans un monde inconnu qui doivent faire le deuil de la personne qui est leur ancre. C’est pas commun comme sujet.

Pour rebondir sur ce que tu mentionnes en spoiler, (d’ailleurs je note que les balises de lemmy fonctionnent pas sur Piefed) je m’attendais pas à ce que les choses soient aussi viscérales. Je revois encore la scène de la “première rencontre” on va dire. L’effet qu’elle a sur Ranta 🥶

Dommage que l’anime n’ait pas continué…

Well, there’s one that got stuck in my fly screen one summer night a couple years ago. I got a good minute to look at it before it freed its claws from the net 😊

It was an Alcathoe bat if I’m not mistaken. Of the species that live in my region, it’s the one that’s most similar anyway.

Je connais de nom, mais je pensais que c’était juste un isekai et le visuel me paraît standard, donc ça m’intéressait pas (je devrais pas juger à l’emporte pièce puisque mon coup de coeur du moment est un isekai, mais je digresse). Ta description donne envie, c’est original ce rapport à la longévité !

Edith : j’avais pas fait attention, mais ce sujet aussi est venu me dire coucou grâce au filtre scaled 😶

All year round, magpies ravens and crows during the day, and it’s pretty common at night to see ugly (in a cute way) tiny bats zooming around. Of course there’s also the local fat cats inspecting their turf.

During summer, there’s these huge grasshoppers the size of my hand that just can’t shut up and are loud as hell. And often at night, I can see ferrets or weasels climbing walls. Oh, and there’s a insect hotel right outside my window that hosts bumblebees every year.

So you’re a fucking psychopath, huh?

Does that mean he knowingly brought his meatshield son to meet the pedo taco? I’m so shocked!

Come on, that’s even less subtle than when the Pokémon anime does it.

Everybody can see that’s a hyena.

Do you want to bait all the pitbull haters? Because that’s how you bait all the pitbull haters.

• Septicflesh
• Avith Ortega
• Portishead
• Marcus Miller
• The Offspring

C’est pas facile. Il y a des trucs que j’ai sans doute aimés plus intensément, mais qui n’ont pas survécu au temps. Ces 5 là j’y reviens toujours.

J’ai découvert The Orville y a quelques semaines. Au départ j’imaginais que ce serait juste une parodie de Star Trek TNG, et il y a de ça bien sûr, mais la série parvient à trouver son identité assez vite et aborde des sujets actuels avec ce qu’il faut de justesse et de pointes d’humour pour éviter que les choses deviennent sinistres. Vraiment, la barbe pousse d’épisode en épisode.

Mais pourquoi j’ai été regarder moi… J’ai un fétiche sur les kobolds maintenant, t’es fier(e) de toi ??

Bah ils se sont fait du blé pendant des années sur des viols et des abus sexuels sur mineurs non ? Si ça peux taper un peu dans votre portefeuille, ça vous fera les pieds mes cons. Même si c’est pas grand chose.

Un peu ouais. On me prend soit pour un Belge soit pour un Suisse parce que j’utilise septante, huitante et nonante. C’est quand même pas ma faute si c’est plus civilisé comme nombres 😎

J’ai terminé The Boys, le comics de Garth Ennis qui a légèrement inspiré la série du même nom. Et c’est pas un euphémisme tellement les deux trucs sont différents, enfin bref.

Entre les moments où l’auteur détourne son récit pour insérer ses vues, ses grands moments de justesse et ses contradictions, je sais pas quoi en penser. C’est un effort impressionnant lorsqu’il s’agit de démolir son propos en ne voyant pas qu’on y participe aussi activement, ça c’est certain…

Encore de la grande littérature, mais ranafoute, je l’ai dévoré ce truc : The Beginning After the End, un webcomic (une gauche dans la gueule) du genre isekai (suivi d’un spinning back fist pour le KO). Alors ouais, y a tous les clichés du genre, not’ gars meure pour être réincarné dans un monde de fantasy, il est un peu beaucoup élu des dieux, utilise les connaissances de son ancienne vie pour montrer qu’il en a une grosse, et il se constitue un harem de jeunes donzelles, etc… Sauf que… bah c’est bien fait en réalité. Déjà c’est pas un gros pervers comme dans Moche-au-cul Tensei ou Redo of a Diddler, chai pas trop quoi. Le petit Arthur, ça le ronge de s’attirer les faveurs de jeunes filles dont il pourrait être le padré, et il ne compte pas entretenir de relation autre qu’amicale avec elles. Mais c’est pas pour autant qu’il sait comment les repousser sans les blesser, la faute à son ancienne vie de roi, et ouais, qui ne lui aura pas permis d’avoir de relations humaines sincères à cause du protocole et un peu beaucoup à cause du trauma personnel. Franchement, même si de prime abord c’est rebutant à cause du genre, faut lui laisser une chance. 10 à 20 chapitres disons.

Said it already, the slow death is accepting that the treatment should go to those who can afford it. That’s the unacceptable compromise for leftists…

What can I say, my Gary is called anarchism 😛

To reuse the analogy, I’m not saying that everyone becoming immortal will happen in a finger snap, I’m saying that “just dying from cancer Vs. chemo for a few wealthy” is a bullshit choice. The first wee basic step we should strive for is to make the treatment available to all those suffering from cancer.

Revolutionary acts aren’t constrained to violence. Prefiguration is revolutionary and as much, if not more important than throwing molotovs while wearing a facemask with a big circled A on it.

What about working for the no death ?